vendredi 24 août 2007

Dicton du jour


C'est du couleur locale !!!

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Ives a dit…

Qui mange un oignon, rote comme un démon.
Plus ça change, moins c'est pareil.
Nez dans l'herbe, petite gerbe
Foufoune poilue, rasoir en vue.
Plus on est grand, moins on est petit.
Chassez le naturiste, il revient au bungalow.
Si tu ne vas pas à la gare d'Hyères, la gare d'Hyères viendra à toi .
Qui vole un bœuf est vachement musclé.
Tousse pour un, rhume pour tous.
A bientôt, au plus tôt, à bien tard, au plumard.
A bonne choucroute, bon prout.
Le chien haut-bois, la clarinette basse.
Le Titien aboie, Le Caravage passe.
Un pour tous, tous pourris.
Où il y a de la gaine, y a pas de plaisir.
Où il y a de la chaîne, y a pas de plaisir.
Où il y a Eugène, y a pas de plaisir.
L'oignon fait la farce.
Qui paye Odette s'enrichit.
Un clavier azerty en vaut 2.
Au royaume des aveugles les borgnes sont mal vus.
Quand le hiboux hululle, la lili bellule.
Mieux vaut partir à point que d'arriver saignant.
Qui ne pète ni ne rote est voué à l'explosion.


De deux mots, choisit le moins long.
Il faut battre son frère quand il est chaud.
La parole est d'argent mais le silence endort.
Un homme travesti en vaut deux .
Les voyages forment la jeunesse et déforment les valises.
Aux grands mots les grands dictionnaires.

Les murs ont des orteils.
Qui joue de la trompette, sème le vent.
Enghein vaut mieux que Dreux tu l'auras.
Un chien vaut mieux que deux judokas.
Un bon chien vaut mieux que deux très gros rats.
Indien vaut mieux que deux tu l'auras.
Pour vivre heureux, vivons couchés.
L'abbé ne fait pas le moine.
La bible ne fait pas le moine.
Autres temps, autres nurses.
Martyre, c'est pourrir un peu.
Partir, c'est crever un pneu.
C'est à prendre ou à lécher.
Comme on fait son lit, on se touche.
Le hangar demeure mais ne se vend pas.